J’avais raison. Mater des femmes nues dans le salon l’avait rendu fou. Dans le hammam plongé dans l’obscurité, il n’a pas hésité à fourrer discrètement sa main dans ma culotte et son doigt dans ma chatte. Il m’a embrassé pour que je ne gémisse pas à haute voix. À la place, je l’ai pris par la main pour l’entraîner dans une cabine. J’avais une folle envie de le sucer et de lui gober les couilles. Sa queue était chaude et mouillée, mes lèvres pouvaient glisser dessus rapidement.